samedi 11 avril 2009

Biscock - Incroyable mais vrai


Hancock, un super héros mal aimé rencontre un pro de de la com, philanthrope. Grâce à lui, il va devenir un héros respecté et adulé.

Le scénar. tient en deux lignes, il ne se passe rien, le film est super court et chiant à la fois. Il y a un retournement de situation à un moment qui justifie la réaction de la femme du mari qui comme dans beaucoup de films blockbuster américain est soumise et chiante (au début du film). Le déroulement est complètement absurde, pourquoi essayer de tuer un super héros avec un couteau alors qu'une kalash ne lui fait rien ?
3/10


Incredible Bulk
Nouvelle franchise, pour plus de fric à l'arrivée. Un frenchie à la barre et un nouveau blockbuster qui aura beaucoup de suites en perspective.

Ce film n'est pas la suite du premier, mais on ne recommence pas l'histoire...
"je suis le scientifique qui se promène dans la rue,je suis content et j'ai mon donuts dans la main pis je me fais attaquer par un ver de terre maléfique et je me transforme en Worman; olala mais qu'est ce qu'il m'arrive ? Eh ma copine se fait racketter par des retraités ! Nooon je peux rien faire.... Grrr pis découverte des pouvoirs de worman."


1/ Eh non ! On sait déjà qui est Hulk, le scénario très banale nous fait suivre le scientifique dans les favellas. Il est poursuivi par le général qui a participé au programme, et ce pendant tout le film qui n'est qu'une course-poursuite.
Ouf ! Pas de pleurnicheries, pas de "-qu'est-ce qu'il m'arrive ? - t'as mangé trop de flageolets ducon", on passe direct au fond du problème.
L'introduction est d'ailleurs bien réalisé, avec une musique style Immediate music (Groupe, organisation musicale)coupée par des flashs remarquablement bien fignolés. Un bon point pour Leterrier.


2/ Betty Ross la femme/copine/ex du héros est remarquablement sublime, elle ne ressemble pas aux "bouffonnes" classiques des films à grand succès américains, voir Biscotte plus haut. Elle est fragile, mais forte, charmante mais pas larmoyante pour trois sous. On la comprend, et parfois ses actions déraisonnées me paraissent complètement légitimes. Je ne sais pas si c'est la réalisation qui a permis ce prodige ou si c'est l'actrice. Hmm Liv Taylor ! J'adore ! On ne résiste pas à la charme de l'elfe qui joue remarquablement bien et qui arrive à nous toucher pour trois caramels.

3/ On observe peu de scènes bidons (sauf à la fin). Pas de foules rassemblées autour d'Hulk en cercle concentrique avec flou gaussien, lorgnant sans cligner trois cils même s'il pleut des missiles balistiques par paquets de 2^n, criant à tout va lorsqu'une tasse de thé mi-tiède, et même pas sucré ! leur arrive à la gueule. Pas de foules en liesse acclamant le super héros c'est à dire le spectateur lui-même qui tente de s'imaginer à la place de la chose verte pour avoir deux petites décharges de dopamine dans le système nerveux.

Rien ne vaut les endorphines, la drogue c'est pour les écervelés de l'aire tegmentale ventrale. Le problème c'est que je n'ai pas eut de gros frissons, voir une résilience fumeuse passé qui s'est débloqué entre temps. J'adore Arwen qui m'a finalement convaincu de son talent.

Finalement la longueur du texte vous le dira, incroyable mais vrai, j'ai bien aimé.
7/10

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